
« Le Temps est un maître qui semble s’être installé ici après un long voyage, et dans la roche il a creusé des portes que seuls les morts savent ouvrir… »
Quand la poésie vient transfigurer la douleur, le désespoir, la solitude, la perte.
Requiem pour une ville : Istanbul. Requiem pour les disparus : les êtres, la liberté, l’insouciance. Requiem pour un paradis perdu : le passé d’Asli Erdoğan, avant l’exil.
Istanbul, une ville entre deux rives comme l’autrice qui se balance entre les vivants et les morts....
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