
« J'ai plus de tolérance pour le parricide et le matricide que pour l'infanticide » (p.22).
Amélie Nothomb revient sur le devant de la scène, comme chaque année, avec un roman plutôt plaisant à lire et qui, pour une fois, a une vraie fin. Je dis cela sans ironie aucune. Il faut avouer que les fins des romans d'Amélie ont une tendance à être un peu bâclées ou rapides du moins (surtout ceux des années 2000-2010, depuis Robert des noms propres en fait). Là, l'ensemble est plutôt homogène et l'histoire...
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