7 janvier 2019
« Je voudrais que la nuit me prenne » d’Isabelle Desesquelles
« Ainsi je grandissais, pas seulement sur la toise, mais au travers d’être imaginaires devenus les meilleurs amis de mes parents, donc un peu les miens. À force j’ai bien senti que leur boheur parfait n’allait pas, qu’il n’y avait pas que le titre de...