
« Partout brûler, ardens, ardoir.
Que tout sorte
et que tu m’aimes
et que je t’aime
et prenne forme.
Découpe du corps sur fond de chaleur, de juin
de certitude de jouir ».
Pas un roman, pas un poème mais une forêt. Telle est la description dès la couverture. L’appellation « forêt » est bien trouvée car le lecteur plonge dans un monde qui lui est à la fois familier mais aussi terriblement mystérieux. La forêt c’est le théâtre du songe, des contes de fées mais aussi des légendes cruelles. C’est la selvaggia...
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