
« … je suis verte de rage qu’en tant que fille qui intéresse peu les hommes, on cherche sans cesse à me faire savoir que je ne devrais même pas être là ».
J’ai lu cet essai de Virginie Despentes datant de 2006 d’une traite, happée par cette langue crue et par ses propos que j’ai ressentis de façon violente mais qui sont portés par une vérité dérangeante.
Les hommes ont peur, dit Virginie Despentes, des féministes qui n’auraient qu’une volonté : les déviriliser. « C’est tout de même épatant, et pour le moins...
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