
Il est des romans que l’on ne peut pas chroniquer comme d’habitude, parce qu’ils sont à part. Éparse est un roman à part. On ne peut pas en parler de manière rationnelle car ce livre n’est pas rationnel. Il est dans l’émotion, dans la sensation. Il est, pour citer Lisa Balavoine, dans « la sueur, la moelle, le sang. Le beau comme le sale. Ce qui brûle là, au-dedans. Le vivant ». Du coup, j’ai décidé de fragmenter mes impressions, mon ressenti et chercher là, au-dedans ce qu’il remue chez moi.
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Lisa Balavoine...
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