
« Alors Pelletan se fit cette réflexion qu’il y avait sur terre deux âmes plus solitaires que la sienne, puisqu’Hercule et Personne, en dépit de leur destinée singulière, de leur insolite amitié – ou fallait-il dire, en raison de cela ? – n’appartenaient désormais plus à aucune société. Ces deux êtres si rares ne devaient-ils pas être protégés non seulement de la méchanceté des hommes, mais aussi de la férocité des animaux sauvages, de la peur des animaux domestiques, de leur propre inadaptation, en somme, à quelque monde...
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