
« Gary écrit le nom de Piekielny sur la page. Le fait-il naître ? Renaître ? Jaillir du tréfonds de sa mémoire ? Ou bien cela vient-il de plus loin, de l’imaginaire se déployant par miracle pour assujettir le réel ? Je ne sais pas. Il est tout-puissant. Il écrit. Il ne pense qu’à cela. Écrire. Tenir le monde en vingt-six lettres et le faire ployer sous sa loi ».
Quand j’ai ouvert ce livre, je ne m’attendais franchement pas à lire un récit drôle, enlevé. C’est donc une véritable bonne surprise que cette lecture d’un auteur que...
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